Qui se cache derrière le Festival de la Photographie Urbaine ?
Voici l’équipe de l’association 2I Immersion Image

Laure
Coordonner les projets, rassembler les informations, et maintenir la cohésion au sein de l’équipe sont les fonctions principales de Laure.
Organiser cette manifestation est sa façon de mettre en avant un art qui la passionne. Rassembler des artistes de divers bords, de sensibilités différentes et de tous les coins de France, revient à faire face à un challenge enrichissant pour celle qui souligne : « Le plus gratifiant étant l’appréciation des visiteurs qui, tour à tour, se montrent curieux, admiratifs ».
Et si tu devais résumer le tout en une seule phrase ? « Je dirais que partir d’une simple idée au stade embryonnaire, la voir prendre forme et grandir jusqu’à maturation, est un immense plaisir ».
Un dernier mot ? « Nous avons choisi le thème de l’exposition, du fait que nous sommes tous sensibles à la photo urbaine ».
Deux vérités, un mensonge
- Laure a tourné pour un film américain dans un studio de cinéma indien
- A senti les vibrations d’un tremblement de terre, alors qu’elle se trouvait au Pakistan
- A assisté au mariage du fils d’un maharadjah

Quliya
Vice-présidente du festival, Quliya a étudié les arts à Paris, et a travaillé dans plusieurs galeries entre Londres et la capitale. « L’art fait partie de mon être. Il m’accompagne, me bouscule, m’inspire. Je me nourris d’une idée, de son l’éclosion à sa matérialisation, sous toutes ses formes ».
Son regard sur le Festival de la Photo Urbaine ? « C’est une épopée qui ouvre un espace aux voix singulières, appelle à la croisée des chemins entre participants, membres du jury, intervenants et curieux ».
En coulisses, Quliya coordonne les opérations et s’assure de leur bon fonctionnement pour que le jour J, l’événement prenne toute sa dimension. « Mettre en place une programmation vivante, collective et engagée, ouvrir le regard des visiteurs et ce, dès leur plus jeune âge, sont parmi les facteurs motivants de cette aventure ».
De sa confection d’un point de vue théorique jusqu’à son aboutissement, en passant par chaque phase de construction en équipe, Quliya ne lâche rien. « Le festival dans son ensemble me stimule, tout autant que ces échanges humains qui, en définitive, donnent un sens à cette manifestation ».
Deux vérités, un mensonge
- Elle a travaillé avec l’un des photographes de la reine Elizabeth II
- A participé au Rallye Aïcha des Gazelles à dix-huit ans
- A couru le marathon de New York

Agnès
Engagée pour la nature, Agnès aime la vie, les gens, les couleurs et, en plus, elle est Corse !
Photographe et employée dans un labo photo, la militante pour l’écosystème découvrait il y a trente-cinq ans l’art photographique, au Printemps de la Photo, à Cahors. Elle définira alors cette exposition comme « un coup de foudre immédiat, inattendu, irréductible ! ».
Au sein du festival, Agnès pilote le projet École, pour lequel elle est chargée de coordination, entre les équipes pédagogiques. Par ailleurs, elle témoigne du fait que « Le dynamisme de l’équipe et les échanges humains véhiculés par l’événement sont porteurs d’énergie, d’un enthousiasme communicatif ».
Deux vérités, un mensonge
- Elle partage la vie d’un athlète breton
- A écrit un livre sur le parler corse
- A écrasé avec sa main les orteils de Christophe Maé

Sandrine
Vous pourrez trouver Sandrine sur les réseaux, sous le pseudo @monevasionamoi. Pourquoi ? Parce que la photo est son évasion à elle !
« La photographie urbaine est une passion communicative, vibratoire, qui rassemble et interpelle » dira-t-elle. Être membre de l’organisation de ce festival, c’est pour Sandrine « contribuer à créer un espace d’échange entre artistes, passionnés et curieux ».
Outre le plaisir d’accueillir les participants le jour J, de les guider afin que leur expérience soit des plus satisfaisantes, son rôle se situe au préalable sur la gestion des réseaux sociaux.
Naturellement à l’écoute, Sandrine aime prêter main-forte aux moments opportuns, et intervenir sur les décisions qui façonnent l’évènement. La photographe amateur apprécie les choses simples, authentiques et ça tombe bien, cette manifestation incarne parfaitement ces valeurs !
Selon elle : « Ici, l’important n’est pas d’être connu ou reconnu, mais de partager une vision, une émotion, une histoire à travers l’image. Chaque édition est une nouvelle aventure, une occasion unique de découvrir, d’échanger, de mettre à l’honneur la photographie urbaine sous toutes ses formes ».
Deux vérités, un mensonge
- Son NAS contient plus de photos que Wikipedia
- Sandrine a refusé un date avec Jean Dujardin
- Elle a fait trois fois le 205 TROPHÉE

Sofia
Étudiante en photographie à Montpellier, Sofia a rejoint le festival l’an dernier, en octobre.
Au travers de sa passion, l’élève apprécie particulièrement la rue, l’architecture, l’urbex… Bref, tout ce qui est en rapport avec le festival ! En réalité, si l’on devait énumérer les innombrables aspects liés à cet art, qui fascinent la jeune femme, ces quelques lignes seraient bien insuffisantes !
Sa mission au sein de l’équipe revient à s’occuper des réseaux sociaux, à filmer, à réaliser des montages vidéo.
Ce qui la stimule dans l’organisation de l’événement : « Utiliser internet pour communiquer, informer, mettre en avant le festival ». La demoiselle ne manque pas de préciser que : « La rencontre avec les exposants, et la découverte de clichés inédits font partie intégrante de mes motivations ».
Deux vérités, un mensonge
- Il a fait tellement chaud l’été dernier que ses yeux ont fondu jusqu’à devenir ronds et tombants
- Lorsqu’elle apparaît sur des vidéos, les gens pensent qu’un filtre a été utilisé. Mais il n’en est rien, ça n’est que son vrai visage
- Quand elle était petite, on demandait à Sofia d’enlever ses lunettes pour voir ses yeux, alors que les verres étaient transparents

Sabrina
Sabrina est, depuis son plus jeune âge passionnée par la photographie, qu’elle définit comme « un art qui revient à figer un instant, dont l’impact perdure sur des générations ». Au sein de l’association, elle occupe un rôle polyvalent et s’adapte aux besoins qui se présentent, selon les missions de l’année. Si sa préférence tend vers l’urbex, le caractère du festival : « réunir des passionnés de photo urbaine, soulever une émulsion sur le sujet » l’a motivée à prendre part au projet. Assister à l’évolution complète de l’événement, de l’état embryonnaire à son éclosion totale, est pour Sabrina une expérience énergisante. Accompagner les exposants, échanger sur leurs techniques et leurs histoires, ajoute un bonus favorable à son enrichissement personnel.
Deux vérités, un mensonge
- Elle a été photographe pour la coupe du monde de rugby à Montpellier
- A aperçu le tournage de la série Gossip Girl lors de ses vacances à New York
- A assisté au passage du Tour de France au Mont Ventoux

Olivier
Olivier a depuis toujours pratiqué la photographie et depuis quelques années, la photo de rue est devenue son centre d’intérêt.
« Faire des rencontres, mettre en lumière l’humain autour d’une histoire ou d’un instant de vie, figer le moment » : voilà ce qui le motive dans cet art !
L’idée de partager cette passion a été le moteur de son implication dans le festival qui est, comme il le souligne : « Un évènement que nous souhaitons pérenniser, tant celui-ci a pris de l’importance pour nous ».
Ce qui motive Olivier dans l’organisation de cette manifestation, ce sont « Les moments de rencontre et de découverte, cette émulsion qui consiste à rassembler, à créer du lien social ». Il ajoute : « Créer un projet, suivre son développement jusqu’à son accomplissement, est un plaisir ».
Deux vérités, un mensonge
- Il a participé à un shooting de stars dans le centre de Montpellier
- A repris le rôle de Lino Ventura dans la fameuse scène de la cuisine des Tontons Flingueurs
- A traversé la Finlande jusqu’à la frontière Russe en Motoneige
Merci à Nelly pour les beaux textes qu’elle a écrits et qui donnent une belle voix à notre projet.
N’hésitez pas à aller découvrir son compte : @nelly_yan_ecrivain_musicienne
Sans oublier
Robert, Monique, Maïté, Gérard, Jean-Michel, Betty, Corinne, Alain, Marie-Liesse, Francis, Carole, Jean-François, Eric, Corinne, Thierry, Valérie, Bérengère, Michèle
pour leur participation à la mise en place et leur investissement.
